Face à l’urgence écologique, qui n’est jamais séparée des problématiques du capitalisme, montrons qu’il existe d’autres manières de lutter et de manifester.
Nous marcherons pour le climat, mais aussi contre ses ennemi-e-s politiques.
Nous marcherons,
• contre les multinationales qui détruisent les vies, les habitats et les écosystèmes en toute impunité, surtout en dehors de nos frontières européennes,
• contre les banques qui financent ce système extractiviste,
• contre les armées qui le défendent,
• contre nos dirigeant-e-s qui n’ont pas mieux à faire qu’à nous diviser, à coups de taxes injustes, de mépris social et de cadeaux aux plus riches,
• contre tous-te-s celles et ceux qui veulent nous faire croire que trier ses déchets nous sortira de « l’affaire » et qui dressent un écran de fumée « solutions » largement insuffisantes pour ne pas se remettre en question.
Bien sûr, dénoncer et nommer ne suffit pas, et nous ne le savons que trop bien. Il faudra être offensif, il faudra désobéir et nous sommes prêt-e-s à le faire.
Nous avons des allié-e-s et souhaitons les soutenir : les peuples autochtones qui opposent leurs corps aux méga-projets pour défendre leurs terres, les zadistes et ruraux, les gilets jaunes dont nous partageons les colères, les squateu.rs.ses et tou-te-s les autres qui crient avec hargne leur volonté de voir ce monde s’effondrer et tentent de construire leurs rêves.
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