Dans notre dernière émission, on on pousse les portes des cuisines, des brigades à l’ambiance paramilitaire des restaurants étoilés aux cuisines collectives en passant par les cellules des taules... On se met aux fourneaux pour vos oreilles ! 👩‍🍳

Cycle d’animations sur les stratégies violentes et non-violentes dans les luttes.
Quatre ateliers : Une projection, deux arpentages et un débat animé.
5 rue Sébastien Gryphe, 69007 Lyon

Quels que soit les groupes auxquels on appartient, ceux-ci véhiculent des normes qu’il nous faut appréhender pour s’y conformer ou pour les refuser. On se propose de parcourir la question des normes dans le cadre de la causerie du lundi 4 novembre, à partir de 18h30 aux Clameurs.

Le genre est une construction sociale. Ça signifie que nous apprenons des rôles et qu’on nous les fait répéter encore et encore. Ces comportements nous nuisent, ils entravent notre capacité de libre arbitre, ils nous conduisent à générer de l’oppression sur les autres.
Comment prendre conscience de ces mécanismes ? Comment les déjouer ? Comment faire pour s’en éloigner ?

Malgré l’infâme expulsion de l’ECG, l’Amicale du Combat Libre poursuit ses bagarres en douceur. Une nouvelle salle fraichement aménagée et haute en couleurs nous attend au Toutenkao.

Café Conférence avec Lucien ANGELETTI, économiste,

𝄞 « Quand c’est oui, c’est oui, quand c’est non, c’est non » ♫ Au-delà de cette chanson entêtante, le consentement se révèle être une notion bien plus complexe qu’il n’y paraît. Si un « non » est toujours un « non », un « oui », lui, n’est pas toujours un « oui ».
Comment accueillir un « non » ? Comment dépasser sa frustration ? Comment s’assurer qu’un « oui » est bien un « oui » ? Comment faire évoluer la façon dont on demande ? Comment développer sa capacité à pouvoir dire « non » ? Au cours de l’atelier vous tenterez de répondre à ces questions. L’atelier ne vise pas spécifiquement le consentement dans les relations sexuelles, mais le consentement dans tous les formes de relations sociales que nous avons au quotidien.

Inscris-toi à La douille, le festival lyonnais de savoir-faire techniques en mixité choisie entre femmes et personnes queer !

Qu’est-ce qui vous pousse à descendre dans la rue ou à l’inverse, vous en empêche ? La manifestation permet-elle encore d’engendrer un rapport de force avec l’État ? Quels sont les gestes et les bonnes pratiques à adopter pour permettre à tous.tes de manifester en sécurité ? On se pose toute ces questions dans le cadre de la causerie libre du 7 octobre, à partir de 18h30 aux Clameurs.

Le Mouvement pour une Alternative Non-violente (MAN) fête ses 50 ans en 2024. Ce colloque est organisé en partenariat avec les Archives Municipales de Lyon à qui le MAN Lyon a confié ses archives, triées et classées conjointement.
L’intention du colloque est de tisser le lien entre passé, présent et avenir. Il présente la façon dont la non-violence nourrit aujourd’hui les personnes engagées pour une société plus juste et plus solidaire. L’intervention d’historiens, journalistes, universitaires, pédagogues et de protagonistes des combats non-violents s’adresse à un large public.

10 jours de festival, une trentaine de films sur les luttes actuelles, toutes les projections suivies de discussions avec de nombreux et nombreuses invité-es

Le genre est une construction sociale. Ça signifie que nous apprenons des rôles et qu’on nous les fait répéter encore et encore. Ces comportements nous nuisent, ils entravent notre capacité de libre arbitre, ils nous conduisent à générer de l’oppression sur les autres.
Comment prendre conscience de ces mécanismes ? Comment les déjouer ? Comment faire pour s’en éloigner ?

Notre brochure entend faire un état des lieux des organisations et groupuscules d’extrême-droite susceptibles de prendre la rue à Lyon. Si la fascisation est un phénomène diffus, protéiforme et global, il nous paraissait malgré tout nécessaire, surtout dans le contexte actuel où l’extrême-droite se retrouve aux portes du pouvoir, de faire un point local sur l’état des forces des extrêmes-droites à Lyon.

« Le Théâtre de l’Opprimée est une répétition pour la révolution ». Il s’agit de techniques dramatiques utilisées pour s’entrainer à lutter et à résister contre toutes formes d’oppressions.
C’est un outil d’éducation populaire par excellence qui encourage une émancipation individuelle menant à une émancipation collective et une véritable transformation sociale.
C’est une manière puissante de dénoncer et de transformer les situations d’oppressions vécues au quotidien. En participant, vous pourrez aussi apprendre à animer ces ateliers pour contribuer à cette transformation sociale.

Dans le cadre des Causeries aux Clameurs, nous accueillons, lundi 16 septembre à partir de 18h30, Anthony Galluzzo pour une présentation et une discussion autour de son bouquin : « Le mythe de l’entrepreneur » afin de défaire l’imaginaire de la Silicon Valley.

L’Amicale du Combat libre, collectif de sport de combat autogéré, se met à l’autodéfense et continue à boxer !

L’actualité politique et très trouble et incertaine, elle présente de nombreux risques mais aussi des ouvertures pour renverser le vieux monde. Les solutions vers des avenirs meilleurs ne pourront se trouver que dans les collectifs. Les clameurs peuvent représenter un lieu où s’organiser mais pour cela il faut que l’on se rencontre.
Cette causerie sera l’occasion d’échanger avec les différents pôles (causerie, bibliothèque...) après les avoir présenter. Les contributions et propositions (...)

L’éducation populaire est une méthode d’apprentissage qui vise à rendre le savoir accessible à tout le monde, en permettant à chaque personne de participer activement à sa propre transformation et à celle de la société. Au lieu de simplement transmettre des connaissances d’une « personne experte » à des « personnes moins informées », elle encourage un échange où tout le monde partage ses idées et apprend ensemble. L’objectif est de développer une compréhension critique des conditions sociales et de valoriser les expériences et connaissances de chaque personne.

La Douille, le festival de savoir-faire techniques en mixité choisie entre femmes et personnes queer, recherche ses animateur-ices d’atelier !

Au sein de Réseau salariat, association co-créée par Bernard Friot, le groupe thématique Économie du salaire à vie s’est proposé de réfléchir au fonctionnement économique d’une société complètement sortie du capitalisme et entièrement passée au salaire à vie.