L’OCL est une organisation anarchiste-communiste présente sur Lyon au travers d’un groupe local, comme dans d’autres villes et régions de l’hexagone. L’OCL publie le mensuel Courant Alternatif et anime un site web d’information et de réflexion.
Le groupe est investi dans des domaines tel que l’anti-impérialisme ou l’anti-nucléaire et plus généralement l’écologie sociale.
Pour nous présenter politiquement voici un texte qui succinctement indique qui nous sommes.
Petit guide lyonnais
D’ébats féministes n° 39
Le bulletin trimestriel du Planning Familial du Rhône, D’Ebats Féministes, vient de sortir son n° 39.
Au sommaire :
Un gros dossier sur le thème de la prostitution (suite à un débat que nous avons eu entre nous), avec à la fin le communiqué du Planning (confédéral) : « Oui, on peut être féministe et contre la pénalisation des clients »,
Un compte-rendu des actions que nous avons menées localement sur le harcèlement sexuel, et lors de la Marche des fiertés,
Une synthèse de (...)
Vélorution Antinucléaire : dimanche 11 Mars
Le nucléaire est l’exemple type d’un modèle dominant qu’on nous impose en matière énergétique comme on nous impose le tout automobile en matière de transports. Les constructeurs automo-dé-biles cherchent à développer la voiture électrique, qui nécessitera toujours plus d’électricité. Et donc de nucléaire puisque c’est le modèle choisi en France pour produire de l’électricité. Pour plus d’informations, voir les liens suivants .
Le collectif vélorution vous invite à une masse critique (...)
Fiche pratique n°7 : pirate party
Comment contourner les lois sur le téléchargement. Alors que le FBI vient d’arrêter 7 personnes en relation avec Megaupload et d’arrêter les serveurs de ce site de téléchargement centralisé, voici une fiche pratique issue d’Outrage n°7 qui donnait déjà un certain nombre de pistes, toujours valables, pour télécharger sans soucis.
Rencontre avec Gilbert Vincent Caboud, auteur de « L’anomalie ou les mémoires du silence »
Samedi 26 novembre 2011 à 16 h
au local CNT, 44 rue Burdeau, 69001 Lyon
suivi d’un pot de l’amitié
Parce que notre classe a une culture, notre syndicat entend bien l’entretenir et la propager. La littérature prolétarienne est un pan de notre culture de classe. Nous avons souhaité organiser cette rencontre avec Gilbert Vincent Caboud autour du livre « L’anomalie ou les mémoires du silence » pour aborder ce thème de la culture de classe mais aussi ceux de son livre :
Eric, l’homme (...)
Groupe « Vivre Libre ! », de la Fédération anarchiste
Le groupe « Vivre Libre ! » est adhérent à la Fédération Anarchiste et est présent sur la région lyonnaise.
Tartagueule à la récrée ! n°88 Mars 2011
Bulletin mensuel de la CNT-Education 69
Téléchargez le N°87 de « Tartagueule » février 2011 (mensuel de la CNT Education 69)
mensuel de la CNT Education 69
Téléchargez le N°86 de « Tartagueule » janvier 2011 (mensuel de la CNT Education 69)
Sommaire : Fonction publique : après les suppressions de postes, les licenciements ! L’anarchosyndicalisme expliqué à mes filles épisode 1 : l’Assemblée Générale J’suis prof de physique mais j’enseigne les maths… Le Père Noël est une ordure ! (cadeaux aux recteurs méritants !)
Fiche pratique n°9 : Mets de l’huile
Solidarité active avec les raffineries en lutte.
La Guill’ avec Guillherme
La lutte autour de Guillherme, sans-papiers angolais de 45 ans, c’est l’histoire de deux acharnements.
D’un côté l’acharnement de la préfecture à l’expulser : arrestation chez lui à la mi-janvier
(les flics qui entrent en défonçant la porte, le braquent en l’insultant, le menottent devant ses enfants),
tentatives d’expulsion qui s’enchaînent (la dernière en jet militaire), passage par la case « prison ».
Et face à ce déploiement de moyens, il y a l’acharnement de Guillherme
à résister, à ne pas se laisser reconduire de force. L’acharnement également de la rue :
de ses amis, des parents d’élèves qui le connaissent, des instits de l’école où sont scolarisés ses gamins.
Brèves temps de crise
■ Tous les coups sont permis
Face à la crise et contre la vie chère, les petits coups en douce continuent. Fin juin le Casino de Villefontaine est braqué à coups de chariot élévateur. Deux semaines plus tard 5 000 euros d’outils s’envolent d’une société d’abris de piscine. La fête gauloise de Courtenay se fera sans salades puisque les 50kg prévus ont disparu après que le boulodrome ait été visité le 25 juillet. Étrangement l’alcool et le matériel sont restés. Le 26 septembre dix camions (...)
Lejaby c’est pas fini
Le 16 septembre 2010, les
salariées en grève de trois sites
différents de Lejaby (usines de
fabrication de lingerie féminine),
se rejoignent au siège social
de Rillieux-la-Pape. En jeu, la
fermeture annoncée en avril
des sites de Bellegarde, Bourg-en-
Bresse, Le Teil et la suppression
de 197 postes sur 653.
Feyzin : tout s’arrête, tout commence
Le 12 octobre, les salariés de la raffinerie de Feyzin stoppent la production. Un geste fort, et pas simplement un arrêt de l’activité : bloquer une raffinerie est une opération compliquée, assez dangereuse, qui réclame du monde (pareil quand il s’agit de relancer la machine). Sur le site, plus des trois quarts des ouvriers suivent le mouvement, et c’est la même chose dans toutes les raffineries de l’hexagone.
ASSEZ VITE, L’EFFET se fait sentir à la pompe. On commence à voir des queues (...)
Chronologie
■ 12 octobre Grenoble : tout comme cela s’était passé le 2 du même mois, la manif syndicale est parsemée d’affichages sauvages et de tags contre le travail : « Organisons-nous pour ne plus cotiser ». Dijon : un cortège devance la manif « planplan » et fait fermer les magasins de la rue de la Liberté en baissant les grilles et scotchant les entrées. Des banques sont recouvertes de purin d’ortie.
■ 13 au 18 octobre Saint-Étienne : les agents du centre technique municipal du quartier de (...)
« Nous, c’est simple, on a que des pierres »
Du mercredi 13 au 23 octobre, un peu partout en France, les lycéens se joignent au mouvement. À Lyon, mais aussi à Dijon, Chambéry, Nanterre, Sarcelles, Chartres, Argenteuil et dans toute une foule de petites villes, des lycéennes bloquent leurs établissements, partent en manif sauvage. À Rennes, un centre commercial puis la rocade sont bloqués. À Nantes, le 20 octobre, c’est la gare et l’aéroport. À Mulhouse, un centre commercial est obligé de fermer suite à une manif.
LYON, DÈS LE 13, (...)
Premier round
OCTOBRE 2010. FACE à un énième projet de réforme des retraites, les syndicats organisent un « mouvement social ». On renoue avec ses formes un peu usées au fil des « victoires » (mouvement de 1995, mouvement contre le CPE) ou des « défaites » (mouvement de 2003, mouvement contre la LRU, pour les régimes spéciaux). L’intersyndicale nationale, les manifestations du mardi, les réformistes, les radicaux, les négociations, les appels à la grève générale ou les appels au calme. Et puis, comme (...)
De la répression policière à la terreur d’État
Le mouvement contre la réforme des retraites a pris à Lyon, à la fin du mois d’octobre, une ampleur sans précédent, entre blocage économique des grévistes et manifestations lycéennes. Face à ce phénomène, aux liens se tissant entre les différents acteurs de cette lutte et aux destructions matérielles qu’occasionnèrent les manifestation en centre ville (les fameux « casseurs » des journaux télévisés), la préfecture et l’État ont répondu avec un déploiement policier inégalé : 800 CRS et gardes mobiles, BAC, blindés de la police avec lance à eau, hélicoptère, GIPN, etc.. (Texte extrait de l’Égalité économique et sociale, feuille locale de la CGA-Lyon)
L’Université Populaire de Lyon
Le savoir n’est pas un objet réservé à une petite caste. C’est une jouissance qui peut être partagée et transmise. Et chacun a le droit d’y goûter à sa guise. Présentation de l’Université Populaire de Lyon.