Nous étions présent-es mardi au rassemblement appelé par Manon, étudiante à Lyon 2 qui, n’ayant pas accès aux études de son choix, a entamé une grève de la faim hier. L’année dernière déjà, des étudiant-es s’étaient retrouvé-es à entamer un acte de désespoir comme celui-ci.
Il est difficile à concevoir que dans la 5e puissance économique mondiale, des jeunes soient amenés à mettre en danger leur santé dans l’espoir d’étudier dans la filière de leur choix.
La présidence de l’université Lyon 2 doit prendre ses responsabilités.
En effet, cette situation qu’on ne souhaite à personne n’aurait pas lieu si Mme Dompnier avait accepté le compromis du collectif des sans-facs pour lever l’occupation, plutôt que de la faire déloger par des dizaines de CRS.
Aujourd’hui, pour certain de ces sans facs, les réponses apportées sont toujours insatisfaisantes. Nous exigeons que des solutions soient trouvées pour mettre fin à cette situation.
UNEF TACLE
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