Malgré la propagande quotidienne depuis la mort de Rémi et l’État de siège policier, 3 à 4000 manifestant-e-s héroïques se sont réuni-e-s pour protester contre les crimes policiers et l’assassinat de Rémi au Testet. La métropole est quadrillée par la police, survolée par un hélicoptère, avec des barrages dans les rues du centre et de nombreux contrôles. Un groupe parvient à se former en face de la Préfecture de Nantes, sur le lieu de rendez-vous.
Au moins 21 interpellations sont à déplorer.
Le nombre de blessé-e-s est encore inconnu.
La furie policière était au moins aussi intense que le 22 février dernier.
De nombreux échos de très graves blessé-e-s circulent. Un bilan est encore difficile à établir. Un journaliste, Gaspard Glanz, a également été atteint par un tir policier.
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