Nous devons vivre avec des camions de CRS et une place vide. La préfecture n’a d’autre réponse à la misère que la répression. Cette grande opération de police est un bon prétexte à l’arrestation de sans-papiers qui n’ont d’autres choix que de recourir au sous-emploi pour survivre. Les vendeurs de rue ne sont pas des criminels. Ne pas avoir de papiers n’est pas un crime. Nous voulons un quartier ouvert, populaire et solidaire. Nous souhaitons en chasser la misère pas celleux qui la subissent. La place du pont ne doit pas être l’instrument de discours politique de haine et de racisme, elle ne doit pas servir les ambitions électorales des un.es et des autres. Pas de flics dans nos quartiers ! Un logement, des papiers et la satisfaction des besoins de chacun pour lutter contre la misère !
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Comment les habitant-e-s de Glasgow ont déjoué les services de l’immigration
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