Il est le symbole du néolibéralisme et de sa colaboration avec la dictarure en Marche pour l’optimisation de l’exploitation des travailleurs et travailleuses par les plus riches.
Nous appelons à un renouvellement des modes de lutte et à la multiplication des actions actions directes en faveur d’une libération totale des chaines du capitalisme. La représentativité pseudo-démocratique que l’Etat nous impose n’est qu’un outil de plus pour le patronat, la lutte est dans la rue, dans la nuit et non dans les urnes.
>Les chiffres de l’IGPN, un iceberg des violences policières
Combien d’enquêtes ont été ouvertes pendant les manifs pour les retraites ? Ou pendant les Gilets jaunes ? Personne ne le sait ! Le ministère de l’Intérieur distille des chiffres tronqués, qui participent à l’invisibilisation des violences policières.
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