Seule une décision d’interdire l’espace aérien à la Turquie, membre de l’OTAN, prise par les puissances membres du Conseil de Sécurité de l’ONU arrêterait le massacre de civils et rétablirait un semblant “d’équilibre” des forces.
Nous savons toutes et tous, que l’OTAN pourrait interdire à l’un de ses membres une agression militaire. Aucune volonté n’est présente de ce côté là. Le maintien des intérêts stratégiques et bien sûr économiques au Moyen-Orient l’emporte sur tout droit des peuples international.
Les commandements militaires à Afrin avouent eux-mêmes que le déséquilibre en armement lourd ne se compense pas par l’esprit de sacrifice des combattantEs pour leur cause.
Face à ce qui est une convergence d’intérêts à ce que le mouvement kurde, et le projet politique du Nord Syrie soit durablement affaibli, les combattantEs d’Afrin sont livrés à l’agression turque, qui s’est considérablement renforcée, qui plus est soutenue maintenant en interne par une union nationale avec la pseudo opposition kémaliste.
>Féministes contre l’armement et le génocide en Palestine : appel à coordination ce jeudi 21 novembre à l’Atelier des Canulars
Suite à l’appel initié par l’Assemblée féministe Paris-Banlieue contre l’armement en Israël et pour la fin du genocide en Palestine, des manifestations sont organisées à Paris, Marseille, Nice et Bordeaux tous les 8 du mois pour « rythmer cette lutte et l’inscrire dans la durée ».
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