Le compagnon meurt parce que l’État veut qu’il meure. Ce n’est pas seulement un problème « humanitaire », la lutte du compagnon est un appel à l’action révolutionnaire internationale. L’indifférence et la passivité ne seront jamais nos alliées ; la solidarité le sera.
Comme il a été bien exprimé dans une lettre avec une balle adressée au journal italien « Il Terreno » : « Si Alfredo Cospito meurt, tous les juges sont une cible ». Faisons savoir à l’État italien que si Alfredo meurt, nous serons leur pire ennemi.
Les camarades du Chili et de la Colombie seront présent.es ce vendredi 3 février devant leurs ambassades. Nous espérons que cette initiative se répandra davantage.
Appelez, organisez et agissez !
Pour la destruction de toutes les prisons !
Mettez fin au régime 41 bis !
Vive l’internationale noire !
Traduit de Lucharcontrael41bis
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