L’approche syndicale de cette journée mondiale pour le travail décent est de souligner les effets économiques et sociaux de la crise sur les salariés, les chômeurs, les jeunes et les retraités. De plus l’intersyndicale s’appuie sur un document de déclaration de propositions et de revendications communes élaboré en janvier 2009 à lire ici
A l’occasion de cette journée mondiale pour le travail décent il parait intéressant de souligner comment le travail est une source d’angoisse, de stress, d’accident et même de suicide !
Les techniques de management qui sont utilisées dans les entreprises et, dorénavant, dans les administrations conduisent souvent des individus au bord du gouffre. Et ce n’est pas parce qu’ils sont "naturellement" plus fragiles.
Juste dans une spirale de l’investissement de soi à l’aune d’une performance obligatoire, piloter par des objectifs individuels, pour beaucoup, le travail perd son sens.
Alors, dans ces conditions, se pose véritablement la question de ce que nous voulons pour l’avenir comme boulot comme les salariés des TCL peuvent nous pousser à nous questionner, eux qui commencent tôt et finissent tard dans une même journée (voir ce tract de SUD-TCL).
“la sonnerie du réveil, première humiliation de la journée.”
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