Alors bien sûr, cela a une contrepartie, celle de devoir tout faire nous même sans permanents. Du coup de balai dans le local, en passant par la confection de tracts, et les luttes dans les boîtes, personne ne s’en charge à notre place.
Mais pour cela, nous avons besoins de tune, de pépètes, de flouze, d’oseille...
Parce que les tracts, les caisses de soutien, les agrafeuses, tout cela demande de l’argent.
Et nos cotisations versées dans un pot commun géré collectivement ne suffisent quelquefois pas à couvrir nos activités.
D’où des soirées de soutien comme celle du 8 décembre.
Ces soirées sont aussi l’occasion de convaincre ceux et celles qui sentent qu’en ce moment, on en prend plein la gueule et que la riposte salariale n’est pas à la hauteur des attaques subies.
Il est grand temps qu’un syndicalisme de masse, sur des bases d’indépendance totale du patronat et des partis politiques, un syndicalisme de lutte et de création d’alternatives organisationnelles concrètes reprenne sa place. Place qu’elle avait au début du xxème siècle.
Venez en discuter avec nous le 8 décembre !
Au menu pour cette soirée :
un film autour des luttes des habitants de La Croix Rousse dans les années 70. A partir de 8 h.
Expo photos sur la télésurveillance à Lyon.
Vin chaud, merguez, marrons
C’est au 44 rue Burdeau, dans le 1er arrondissement, à partir de 19h.
en PDF (l’affiche)
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