Rappel de faits :
- Vos photos, vos vidéos sont dans des dizaines de dossiers de police, de procédures. Vous avez aidé l’Etat à enfermer nos camarades de lutte, nos ami·e·s.
- Vous nous mettez en danger non seulement avec vos images, mais aussi en sous entendant que celleux qui vous critiquent sont des « agitateurs de la police ».
- On en a marre, quand par exemple on monte une barricade, de devoir faire attention à ce que quelqu’un·e parmi vous ne soit pas en train de nous filmer.
- Il y a de moins en moins de personnes en manif GJ mais de plus en plus de gens qui filment : vous n’y faites donc venir personne.
- On a essayé tous les moyens pour vous le faire comprendre. On vous l’a dit gentiment. On est obligé·e·s de constater qu’on a perdu notre temps à parler avec beaucoup d’entre vous, qui ne voulez rien entendre.
- Plusieurs d’entre vous font mine de faire des efforts mais continuent à filmer en HD, à ne rien flouter, et à publier les vidéos des live en entier, sans rien couper au montage (Djemadine pour citer le plus connu).
- Vous prétendez ne pas filmer les actions illégales mais c’est faux, et d’ailleurs la première photo qu’on voit sur votre page FB c’est une personne en train de relancer un palet de lacrymo.
>Les médias indés et le Covid, ou comment passer à côté d’une pandémie | À ta santé camarade ! #2
« À ta santé camarade ! » est une chronique mensuelle des Canards masquées. Cette deuxième édition revient sur la manière dont les médias indépendants se sont comportés vis-à-vis de la pandémie du Covid, oubliant leurs beaux idéaux pour sombrer dans l’eugénisme ou mettre la tête dans le sable....
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