Appel à la mobilisation le dimanche 19 juin dans toutes les villes du monde.
D’autre part, des violences policières ont eu lieu le jeudi 9 juin lors du rassemblement à Valencia, en Espagne.
Le 15 mai, nous avons réussi à nous réveiller et à réveiller les consciences.
Ils ont voulu nous retirer le contrôle de nos vies, c’est pourquoi nous avons manifesté notre désaccord.
Nous nous sommes réunis spontanément sur les places des quartiers, villages et villes pour construire un monde plus digne.
Dans cette construction d’un monde meilleur, chaque présence compte et vos idées sont nécessaires.
En Grèce, des milliers de personnes se sont unies pour refuser le vol de leur souveraineté de la part du FMI et de l’Union Européenne.
Dans de nombreuses villes du monde et ici nous avons commencé à prendre des décisions ensemble et nous nous sommes rendus compte que personne ne peut nous enlever la liberté de décider.
Le dimanche 19 juin, nous sortirons tous et toutes dans la rue pour revendiquer que nous voulons décider collectivement comment mener nos vies.
LE 19 JUIN
PRENDS LA PLACE !
À LYON, 19h PLACE BELLECOUR
Acampada BCN international
P.-S.
Des violences policières au campement de Valencia
Les indigné-e-s de Valencia ont subi une attaque policière à 13h30. L’altercation a eu lieu devant le Parlement Régional de la ville de Valencia (gouvernée par le PP) alors que les indigné-e-s bloquait une route devant le parlement. Il est interdit en Espagne de manifester devant les lieux où s’exercent le pouvoir.... La police dit avoir répondu à un jet de bouteille en plastique et d’une paire de ciseaux, les indigné-e-s disent avoir voulu défendre une dame attaquée par la police alors qu’elle tentait de traverser la rue bloquée par les policiers qui filtraient arbitrairement les passant-e-s. Les indigné-e-ès démentent avoir eu recours à un quelconque action violente Les violences policières ont duré 10 minutes.
On constate 5 arrestations, 10 blessé-e-s du côté des manifestant-e-s dont un député qui s’était approché des manifestant-e-s pour parler, 8 du côté des policiers (démenti par les indigné-e-s).
Entre 2000 et 7000 personnes manifestaient ce soir du jeudi 9 juin devant le commissariat pour demander la libération des 5 inculpé-e-s.
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