La masse se voulait critique, critique contre le G8, la pollution, la ville, les bagnoles (...).
Objectif atteint !
Le départ s’est fait aux alentours de 16 h en direction de la place des Terreaux entre nuages et soleil (ouf !).
Cette « critical mass » a eu au moins un intérêt : se rendre compte comme « la bagnole, ça fait vraiment du mal aux cerveaux (?) des êtres humains ! ».
Pas de détails particuliers sur toutes les formes d’agressions verbales voire physiques de la part des automobilistes... ça a rythmé tout cet après midi !
Plus épuisant que de faire du vélo, la guerre que les bagnoles mènent en ville contre les vélos (les piétons également) est d’une violence rare, violence dont on ne se rend pas toujours compte (même en tant que cycliste) ; la banalisation des comportements agressifs voire violents faisant son ouvrage...
Ben, cet aprèm ce ne sont pas les bagnoles qui ont décidé que la ville était à elles, la « critical mass » a pendant plusieurs heures sillonnée la ville et a remis la pendule à l’heure ! (le temps de cette virée...)
Le parcours s’est achevé du côté de la Part Dieu mais on s’est gentiment fait virer de l’espace vert... Une partie de la « critical mass » s’est rendue (comme prévu initialement) au parc de la Feyssine, question de partager un petit casse-croûte, des impressions et sans doute un peu de musique...
Finalement la ville à vélo, c’est la guerre ! Finalement, est ce que le vélo a sa place en ville ?
... voir aussi :
appel à la critical mass contre le G8.
dossier G8 de Rebellyon.
Compléments d'info à l'article