Depuis le 11 novembre, il se dit à peu près tout et n’importe quoi à propos des actes de sabotage des lignes TGV et de leurs supposés auteurs. Journalistes, experts en politologie ou criminologie et responsables des chemins de fer français (syndicalistes inclus) brodent autour des infos que leur distillent les services de police et les cabinets de communication du ministère de l’intérieur.

Nous n’en pouvons plus des tonnes d’articles parus, des infos à la télé et la radio sur l’ultra-gauche « anarcho-autonome » !
Faire peur... Et faire peur c’est désigner quelques coupables bien sentis en les appelant terroristes.

Texte d’analyse de la CNT Education sur la réforme actuelle des concours de l’éducation nationale. Appel à manifestation et AG jeudi prochain.

Face à la violence de la situation en général, et à Vichy en particulier, la réaction d’une grande partie des manifestants a été celle de l’affrontement physique avec les forces de l’ordre. Ce type de réaction engendre, comme depuis quelques années, son flot de commentaires plus ou moins constructifs, parfois injurieux, malgré les efforts de l’équipe de modération de Rebellyon pour qu’un débat « bienveillant » puisse avoir lieu entre révoltés partisans de différentes stratégies (une page existe qui rappelle les pratiques de l’équipe de modère concernant les commentaires).
Plus que jamais, il nous paraît nécessaire qu’un débat ait lieu pour que des stratégies communes se mettent en place. Pour que chacunE puisse trouver sa place avec sa rage dans les manifestations et dans la construction d’un rapport de forces.
L.S. propose ici une réponse argumentée aux commentaires critiques sur la réaction physique aux provocations policières à Vichy.

Le capitalisme est un système en faillite. (sur Indymedia Lille)

Sur le livre de Sylvain Gouggenheim, « Aristote au mont Saint-Michel »

La confiance a disparu et la finance dérive en terre inconnue. La crise est nouvelle et personne ne sait ce qu’elle va devenir. Les banques sautent, la bourse perd les pédales et tout le monde attend ce qu’il va arriver.
Répandre la peur pour cacher les richesses

D’un côté le pouvoir dans une logique paranoiaque de continuer de détruire des êtres humains par sa politique qui nous conduit tout droit au précipice. De l’autre une société de personnes qui se replient sur elles-mêmes face aux attaques incessantes faites à leurs vies.

Chez nous, le schizophrène est coupable... C’est un drame profond d’avoir la connaissance intime qu’aucune révolution ne viendra...

« Dérive, respire, explore et redessine ta ville en vrac. Illustre ces murs à mutiler, incruste ces briques de tes marques. » (l’Oiseau Mort.)
Merci aux passeurs. Je déambule dans cette ville depuis un peu moins de 25 ans . Je la connais un peu maintenant et je l’ai vu changée. Je ne me souviens plus aujourd’hui des quartiers du chemin de fer de l’est, ou des nombreux terrains vagues du côté de la Part-Dieu. Chaque jour, les urbanistes se chargent d’établir une dimension cartésienne, (...)

Parlons d’école, ou plutôt parlons de ce qui se meurt doucement à l’ombre de nos consciences endormies. Quand on parle de ce qui ne va plus, on en revient toujours à l’école... Pourquoi ?

Estimant que le Rhône n’est pas assez saturé en PCB, SITA France DECHETS et la préfecture du Rhône veulent créer un gigantesque centre de « déchets industriels toxiques » sur 6 hectares, pour plus de 500 000 tonnes de déchets par an, le long du Rhône.

« Nos débats idéologiques hexagonaux entre les « 35h », d’un côté et le « travailler plus pour gagner plus », de l’autre ne sont pas à la hauteur.

Du choix des mots par les médias dominants ou comment la novlangue formate les esprits.
Petite analyse critique...

Un texte paru en janvier 2008 qui fait un bilan du mouvement dit « anti-LRU » et qui propose quelques pistes pour les prochains mouvements étudiants.
Loin de tous réformismes, ce texte critiques la question de l’image dite « positive » que devraient avoir les gens en lutte, et ce qui a été les faiblesses du mouvement de cet automne.

Allons-nous nous laisser faire ? Un projet de « réforme » gouvernemental prévoit de supprimer les allocations de chômage, après six mois de versement, au cas où on refuse n’importe quel emploi proposé ! Par contre, pour les députés, des dispositions leur permettent de toucher de fortes sommes du chômage pendant cinq ans !

La politique de l’État, désignant les sans papiers comme des ennemis intérieurs, s’appuie sur le racisme donnant toutes latitudes aux pratiques policières les plus immondes - traques, pièges, rafles, arrestations arbitraires... - qui aboutissent à une peur généralisée. Le silence des sans papiers est massif. Leur prise de parole est d’autant plus importante : c’est à partir d’elle, de ce qui est énoncé comme leur vie en France, qu’une rencontre et une solidarité peuvent être construites.

Une mouvance autoproclamée « créatifs culturels » ambitionne de se constituer en groupe socio-économique pour occuper la niche du marché de l’âme...

Voici un passage tiré du livre Emile écrit par Jean-Jacques Rousseau il y a plus de 200 ans. J.J Rousseau amène son élève (imaginaire) Emile manger dans un repas fastueux. L’extrait est suivi de quelques commantaires de l’auteur de l’article.

A l’heure du battage médiatique des municipales, véritable piège, conditionnement des masses...